Comment les suivre?

Le maire qui rassemble
http://brunojoncour.mobapp.at

La gauche rassemblée
www.didierlebuhan.net

jeudi 27 mars 2014

Saint Brieuc. Débat télévisé en bus. Prochain arrêt... Mairie

À l'invitation du Télégramme et de la chaîne de télévision TVR, Bruno Joncour, Didier Le Buhan et Pierre-Yves Lopin ont participé, hier après-midi, à un débat d'entre deux tours original. Installés dans un bus des Tub spécialement aménagé, les trois candidats ont répondu pendant une heure aux questions concoctées par les deux rédactions. Le résultat est à voir ce soir, sur TVR.
Pour Pierre-Yves Lopin (FN), c'était « un débat positif au cours duquel chacun a pu exprimer ses points de vue et ses idées pour le bien-être des Briochins; on a fait le tour du sujet ». Bruno Joncour (MoDem), lui, a passé « un moment agréable, très vivant, même si l'exercice n'est pas toujours facile. Mais tous les candidats ont pu présenter leurs propositions ». Enfin, Didier Le Buhan (Gauche rassemblée) jugeait cette heure d'échanges « très intéressante, quoique parfois un peu frustrante en raison des contraintes de la télévision. Si certains thèmes n'ont pas pu être abordés, d'autres, très importants, comme celui de l'attractivité de la ville, l'ont été. Et c'est l'essentiel. » 17 h 15, hier, rue du 71e RI. Globalement, les trois candidats qualifiés pour le second tour des municipales sont satisfaits du débat télévisé auquel ils viennent de participer, à l'invitation du Télégramme et de la chaîne de télévision TVR. Pour l'occasion, les deux rédactions avaient choisi de faire dans l'originalité en installant un mini plateau dans un bus prêté par les Transports urbains briochins : trois caméras, trois cadreurs, des projecteurs, un ingénieur du son et trois journalistes. Rien que ça !

Quatre grands thèmes

Après un bref rappel par Patrick Le Nen, directeur des rédactions costarmoricaines du Télégramme, du contexte exceptionnel dans lequel va se dérouler ce second tour de scrutin, le maire sortant (49,4 % des suffrages au premier tour), son challenger socialiste (26,61 %) et l'invité surprise frontiste (11,29 %) ont échangé pendant une heure autour de quatre grands thèmes : attractivité de la ville, emploi et commerce, logement et urbanisme, culture et vie quotidienne. Le tout en se laissant guider à travers les différents quartiers de la ville, du centre au Légué en passant La Croix-Saint-Lambert ou Robien, par Denis Labbé, leur chauffeur d'un jour. Une manière pour le moins insolite de (re) visiter la ville, à 20 km/h... Le rythme du débat lui, a été bien plus soutenu, grâce aux questions très précises, parfois incisives, de Jolène Roué, journaliste animatrice à TVR et d'Anne Burel, chef de la rédaction du Télégramme à Saint-Brieuc.

Convaincre les abstentionnistes

Hormis quelques échanges un peu toniques au sujet de la gare entre Bruno Joncour et Didier Le Buhan, qui avaient étonnamment choisi une cravate rouge pour le premier et bleue pour le second, à l'inverse des codes habituels de la politique, le débat est resté courtois. Tout le temps sérieux, parfois pointu, il a été d'une grande richesse. Si Pierre-Yves Lopin est souvent revenu sur son principal axe de campagne (nécessité de faire s'installer des entreprises à Saint-Brieuc), même quand la question l'incitait à embrayer sur une autre thématique, les deux autres candidats, en politiques d'expérience qu'ils sont, ont déroulé leur programme en tâchant d'être le plus concret possible. Logement, jeunesse, commerce, travaux, chômage, image et statut de la ville en Bretagne nord... Aucun des sujets qui font tout l'enjeu de cette élection n'a été éludé. Reste à savoir si à l'issue de ce débat, diffusé à partir de 21 h ce soir sur TVR (*), les nombreux abstentionnistes du premier tour (près de 46 %) auront été convaincus par les prestations des trois hommes. Réponse dimanche soir.

Télégramme 27/03

Saint-Brieuc. 300 lycéens contre le Front national

Depuis 11h, environ 300 lycéens de Renan, Rabelais et Fressynet sont rassemblés place des Droits de l'homme à Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor). Ils manifestent contre la "dédiabolisation" du Front national. A Saint-Brieuc, Pierre-Yves Lopin, candidat du FN, est au second des municipales dimanche.

OF 27/03

mercredi 26 mars 2014

À Gauche Vraiment. Pas de consigne de vote pour le second tour

Dans un communiqué adressé à la rédaction, la liste À Gauche Vraiment remercie les nombreux électrices et électeurs qui ont voté pour elle au premier tour des municipales. « C'est une loi électorale unique qui va empêcher 1.504 électeur(trice)s d'être représenté(e)s au conseil municipal. Avec la proportionnelle, AGV2014 aurait eu quatre élu(e)s. » Indiquant qu'elle n'est pas propriétaire des suffrages qui se sont portés sur son nom, elle ne donne donc pas de consigne de vote pour le deuxième tour d'un scrutin marqué par l'abstention et la montée du FN. « Ces deux phénomènes se nourrissent du même terreau. Celui de la misère sociale engendrée par les politiques d'austérité conduites par les derniers gouvernements, qu'ils soient de droite ou de gauche, relayées avec soin par l'équipe du maire sortant. Elles ont conduit Saint-Brieuc au sommet de la pauvreté en Bretagne », expliquent les colistiers de Marion Gorgiard. Bien décidés à ne « rien lâcher dans le combat contre l'implantation du FN à Saint-Brieuc », « dans le combat pour la construction d'une alternative politique à gauche », « pour la construction d'une mobilisation sociale et ce dès le mois d'avril », ni « dans la bataille pour les propositions qui ont structuré sa campagne, en particulier les bus gratuits ». C'est pourquoi demain, à partir de 19 h, elle invite celles et ceux qui partagent ses idées à participer à une réunion publique dans la petite salle de Robien.

Télégramme
http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-brieuc/a-gauche-vraiment-pas-de-consigne-de-vote-pour-le-second-tour-26-03-2014-10094490.php

Saint Brieuc. Elections. Tour d'horizon de l'abstention

Lors du premier tour des élections municipales, les Briochins se sont en majorité déplacés aux urnes pour s'exprimer, mais le taux d'abstention dans la ville est tout de même de 45,8 %. Rencontre avec les habitants des quartiers.
L'abstention peut varier d'un quartier à l'autre. À Saint-Brieuc, on vote plus à l'ouest qu'à l'est. Certains quartiers se distinguent. Par exemple, à Cesson et à La Ville-Bastard, on enregistre le plus faible taux d'abstention avec 39,9 %. En revanche, avec 55,5 %, le secteur Balzac, Ginglin, Europe et le Plateau, lui, se démarque par le plus fort taux d'abstention. L'un des bureaux de vote y a même enregistré un record de 68,99 %. Viennent ensuite les quartiers de La Croix Saint-Lambert et de Sainte-Thérèse où l'abstention est légèrement supérieure à 46 %.

« Il n'y a rien pour nous »

Dans le quartier de La Croix-Saint-Lambert, hier, en fin de matinée, quelques jeunes sont installés à la terrasse d'un café. Djamel a 25 ans, il a toujours habité dans le quartier. Il a voté dimanche et retournera dimanche prochain. « Joncour a transformé mon quartier : il manque d'espaces verts, il y a trop de goudron. On vient nous voir ici juste avant les élections. » Djamel a des idées pour améliorer la vie de son quartier pour lequel il se mobilise. « Je participe aux réunions du quartier. Mais, on en a marre, on se rassemble mais on brasse du vent. Il n'y a rien de fait. Il y a de l'aide sociale pour les gens âgés, pour les moins de 18 ans... Mais pour nous, rien. On aimerait qu'on nous aide à ouvrir une association. À Balzac, ils ont plus d'accès que nous aux structures. Ici, c'est bien quand même, nous sommes mélangés entre générations. Mais on nous fait des promesses qui ne sont pas respectées. Je suis déçu. Le maire a pris mon numéro de téléphone. Il m'a dit qu'il m'appellerait. Cela fait deux ans maintenant ! J'irai voter dimanche, à gauche. J'ai envie que cela change. » Quant à son ami Yones, 24 ans, il partage un certain nombre d'idées avec lui. Comme lui, il a grandi dans le quartier. « J'irai voter dimanche mais pour Joncour », glisse-t-il, convaincu.

« Ras-le-bol »

Si les jeunes savent ce qu'ils veulent pour leur quartier, d'autres s'y sentent bien. Comme cette habitante qui dit « bien vivre ici, à La Croix-Saint-Lambert ». Cependant, elle juge les chiffres de l'abstention « inquiétants ». « Ça illustre un ras-le-bol, les gens en ont marre de la politique », commente-t-elle. Denise, elle, a voté et retournera aux urnes. Elle martèle : « Les gens sont fatigués de tout ce qui se passe. On ne peut pas motiver les gens pour aller voter ! » Même son de cloche dans le quartier du Plateau. Une Briochine de passage constate que « les gens en ont ras-le-bol. Mais il faut tout de même aller voter. C'est un droit difficilement acquis. » Jean-Pierre, 72 ans, lui aussi habite ce quartier et se dit « très surpris par deux chiffres dans son bureau de vote : celui du Front national et celui de l'abstention. Moi j'ai été voter, et j'irai encore dimanche. Je ne pense pas que l'abstention soit le symbole d'un désintéressement pour le quartier, mais c'est surtout une sanction pour le gouvernement ». Un peu plus loin au coeur du quartier Balzac, Hubert confie qu'il ne peut pas voter car il a seulement un titre de séjour. « Si je pouvais, bien sûr que j'irai voter ! Par le vote, c'est la population qui porte la ville. »

Des besoins vitaux avant tout

Catherine, qui travaille dans le social, constate que « l'abstention à Saint-Brieuc est surprenante, ce sont quand même des élections de proximité. Ici, la principale préoccupation des habitants c'est de manger, de payer le loyer et de trouver du travail. Les élections municipales, ça leur paraît bien abstrait à côté de leurs besoins du quotidien. Pourtant, la mairie fait déjà beaucoup. » Enfin, c'est peut-être Marina qui résume le mieux la pensée silencieuse de ceux qui s'abstiennent : « Ça ne m'intéresse pas ! »

Municipales à Saint-Brieuc. Revivez le grand débat en direct vidéo

Bruno Joncour, Didier Le Buhan, et Pierre-Yves Lopin sont les trois candidats qualifiés pour le second tour. Ils s'affrontaint hier dans le grand débat Ouest-France Armor TV.

À l'occasion des élections municipales, Ouest-France anime la campagne. En partenariat avec ArmorTV, un grand débat étaoit proposé par la rédaction de Saint-Brieuc, avec les candidats présents au second tour. A revoir ici.
OF 
http://www.ouest-france.fr/municipales-saint-brieuc-suivez-le-grand-debat-en-direct-video-2041085

lundi 24 mars 2014

Agglomération. Sortez les calculettes...

Pour conserver la majorité au sein de l'Agglo, le camp socialiste n'a pas le choix : il faut que Didier Le Buhan gagne la mairie de Saint-Brieuc dimanche. Une grosse cote, assurément. Mais la droite et le centre ne sont pas pour autant assurés de gouverner dans la sérénité, tant les inconnues sont nombreuses.
C'est l'autre enjeu du second tour des élections municipales de dimanche prochain : qui obtiendra la majorité à Saint-Brieuc Agglomération ? Avec son budget en constante progression (163 M€ en 2013) et ses compétences tous les ans élargies (eau potable, transports, développement économique, déchets, habitat social, enseignement supérieur...), la collectivité dirigée par Armelle Bothorel n'en finit plus de prendre de la place, au détriment des communes. D'où l'importance stratégique pour la gauche ou la droite de la diriger. Jusqu'ici, ce sont les socialistes et leurs alliés qui détenaient la majorité. Mais les résultats définitifs dans treize des quatorze communes de l'Agglo ont déjà profondément modifié le rapport de forces. Les pertes d'Hillion, Pordic et Plédran risquent de peser lourd.

Objectif : 33 conseillers

Pour diriger la collectivité, l'un ou l'autre camp devra en effet compter au moins 33 conseillers (sur 65) au soir du second tour. Pour l'heure, le compteur de la gauche est bloqué à 27, tandis que celui de la droite et des « sans-étiquettes » affiche 18 unités. Seulement, cet état des lieux ne prend pas encore en compte les résultats de Saint-Brieuc. La ville centre - la seule de l'Agglo à ne pas avoir encore choisi son maire après le premier tour - va en effet envoyer 20 conseillers municipaux au conseil communautaire. Si Bruno Joncour l'emporte dans cinq jours, les socialistes ne compteront au mieux que quatre ou cinq conseillers supplémentaires. Insuffisant pour franchir la barre fatidique des 33 élus. « Ça paraît très compliqué que l'Agglomération reste majoritaire à gauche », analyse Ronan Kerdraon, le sénateur-maire socialiste de Plérin. « Si Bruno Joncour confirme son score important, ce qui me paraît assez probable, automatiquement l'Agglomération changera de majorité », corrobore le maire d'Yffiniac Michel Hinault (PS).

« Pas de sans étiquette à gauche »

Mais qui dit défaite de la gauche, signifie-t-il pour autant victoire de la droite et du centre ? Pas si sûr. D'abord car le Front national pourrait envoyer un ou deux représentants à l'Agglo. Ensuite, car dans plusieurs communes, les tombeurs des socialistes se sont présentés « sans-étiquette ». « Des "sans-étiquette", il n'y en a pas à gauche. Il ne faut pas être naïf », poursuit Michel Hinault. Un avis confirmé par les choix de Stéphane Briend (Plédran) et Loïc Bidault (Saint-Donan), qui ont d'ores et déjà annoncé qu'ils se rangeraient su côté de l'actuelle minorité. Mais à Hillion, Tréméloir ou Pordic, les nouvelles équipes (qui enverront sept élus au conseil communautaire) préfèrent pour le moment défendre les couleurs de leur commune, plutôt que celles d'un parti ou d'un camp politique. Une situation qui pourrait convenir à l'homme qui incarne le mieux le consensus dans le paysage politique local : Bruno Joncour.

Un ticket Joncour-Kerdraon

« Je suis très prudent et je ne me hasarderais pas à dire aujourd'hui que l'Agglo va basculer », commente l'élu Modem, qui envisage cependant l'hypothèse. « Si c'était le cas, il s'agirait d'une nouvelle étape qui pourrait être profitable à l'ensemble de l'Agglo. Pour moi, il ne doit pas y avoir de droite ou de gauche. L'Agglo doit être gérée et animée dans le consensus ». Une vision des choses assez proche de celle de Ronan Kerdraon qui prône « une gestion consensuelle, dans l'intérêt général. Et je souhaite que Plérin, la deuxième ville de l'Agglo, prenne toute sa place dans cette future organisation ». « Avec Ronan Kerdraon, nous avons souvent eu des points d'accord sur la façon de faire et la façon de voir de l'Agglo », ajoute Bruno Joncour. De là à imaginer un ticket Joncour-Kerdraon pour diriger Saint-Brieuc Agglomération d'ici quelques semaines... Réponse très bientôt.
En complément

Saint-Brieuc. Les leçons du premier tour

Trois candidats s'affronteront au second tour des municipales à Saint-Brieuc. Tirant les leçons du premier tour, Bruno Joncour, Didier Le Buhan et Pierre-Yves Lopin n'entendent pas relâcher la pression d'ici dimanche pour convaincre les électeurs de les suivre. Et notamment ceux qui, trop nombreux, ont boudé les urnes dimanche.
À quelques voix de réaliser l'exploit d'être réélu dès le premier tour, Bruno Joncour (49,40 % des suffrages) ne peut que savourer le témoignage de confiance adressé par les électeurs briochins. « Je crois que les gens sont sensibles à un discours positif, porteur d'optimisme et d'espoir », analyse le maire sortant qui se propose tout simplement de « poursuivre son travail pour la ville ». Fort de ses quelque 3.708 voix d'av
ance sur son premier poursuivant, Bruno Joncour n'entend pas pour autant se reposer sur ses lauriers en attendant une troisième victoire presque acquise. Car un élément de ce premier tour l'a forcément interpellé. « Je ne peux que déplorer le fort taux d'abstention qui n'a pas épargné notre ville et qui amplifie le score de certaines listes, comme celle du Front national. À Saint-Brieuc, nous avons une population réellement en souffrance qui ne se déplace pas ou qui a exprimé un vote contestataire », analyse Bruno Joncour, qui annonce que sa liste a prévu de s'organiser cette semaine pour porter des messages forts. « Nous allons devoir aussi replacer les choses dans le contexte général qui est le nôtre aujourd'hui. Un contexte de crise qui se traduit par des dotations en baisse, alors que nous allons devoir par exemple mettre en oeuvre la réforme des rythmes scolaires estimée à 900.000 € », annonce le maire sortant.

La gauche veut remobiliser

Didier Le Buhan, qui salue le score « tout à fait respectable de Bruno Joncour au premier tour », doit pour sa part assumer le score historiquement bas réalisé par la liste de la gauche rassemblée (26,61 %). Mais point de remise en cause personnelle de ce côté-là. Pour Didier Le Buhan, c'est bien le « contexte national » qui a pesé sur le scrutin de dimanche et provoqué l'abstention record constatée à Saint-Brieuc. « L'ampleur de l'abstention (plus de 45 %) nous a troublés et nous trouble encore, ne cache pas le candidat. Le message est net et précis et nous l'avons entendu. La remobilisation doit donc être nationale », estime le candidat qui se dit toujours combatif et prêt à aller jusqu'au bout pour défendre un projet responsable et social. « Nous devons rappeler à tous les électeurs de gauche qu'il y a désormais un enjeu à Saint-Brieuc. Cet enjeu est la place que veulent donner les électeurs au Front national dans la ville et dans l'Agglomération. » À ce jour, Didier Le Buhan redoute notamment que le FN se retrouve à jouer le rôle de « pivot » dans une Agglo dont la bascule, ou pas, devrait se jouer dans les urnes briochines dimanche. « Ça me fait peur, reconnaît-il. Je ne voudrais pas, par exemple, que des projets engagés, tel que le chantier TEO, en fassent les frais. »

La priorité du FN : l'économie

Crédité de 11,29 % des suffrages au premier tour, Pierre-Yves Lopin ne s'encombre pas de ce genre de considérations. La tête de liste de « Saint-Brieuc Bleu Marine » est avant tout satisfaite de son score du premier tour et compte bien confirmer cet ancrage local en obtenant 15 à 16 % des voix au second tour. « Notre souhait est de faire passer le numéro 3 de la liste, Philippe Ollivier, qui est une personne extrêmement compétente en matière d'économie », annonce le candidat pour qui l'issue du scrutin ne fait plus aucun doute. «
Bruno Joncour est un excellent maire au niveau du social mais il ne connaît pas l'entreprise. Nous entendons être une véritable force de proposition dans ce domaine. L'économie est notre priorité. S'il n'y a pas d'entreprises, il n'y aura pas de pouvoir d'achat, notamment pour les jeunes qui ont besoin de travailler. Et la ville continuera à s'appauvrir », affirme-t-il.

Télégramme 25/03/2014